Accueilin front of my judgmental eyes ft. igna
2 participants
# Jeu 5 Mai - 23:00
Dina Azzam
hôte ● staff
occupation : diseuse de bonne aventure
positionnement : inconsciente de sa condition
conception : trente-sept ans en apparence, conçu en 2040
myocarde : vielle folle, bisexuelle
inventaire : ☾ des feuilles de menthes
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
. : 
faciès & artiste : ft. golshifteh farahani, queen corvidae
in front of my judgmental eyes
ft. @Ignacio Molina
Trou noir.
Désorientée. Le paysage ne ressemble à rien de connu. Un mal de crâne incessant. Le dos en morceaux. Le sol n'est pas du tout confortable. Mais qu'est-ce qu'elle fout sur le sol.
TENTATIVE DE REBOOT A DISTANCE
GPS NOT ANSWERING .....
Dina se redresse tant bien que mal. La tête en vrac, la tignasse douteuse. Elle émerge. Sa vision est trouble. Elle ne reconnaît pas ce qui l'entoure. Son visage est confus.
Réflexe programmée. Où est ma bouteille de whisky ? Elle s'agite soudainement à la recherche de sa bouteille. Elle ne réalise pas tout de suite que son manteau n'est pas avec elle. Dina fouille ses poches en vain et commence à paniquer. Affolée, elle cherche autour d'elle. Son manteau est posé sur une petite table à côté, sa bouteille trônant fièrement au dessus.
Regain d'énergie. Elle se jette en avant, roulant presque sur elle même. Elle manque de trébucher et de se péter la gueule. Aveuglée par l'alcool, elle ne se rend pas compte qu'elle est enfermée dans une petite cellule. Les barreaux en fer lui rappelle sa triste vérité. Elle essaye, comme d'autres avant elle, d'enfoncer la porte, de mettre son doigt dans le petit trou de la serrure, de passer entre les barreaux. Rien n'y fait, elle est bien pris au piège.
Bien qu'affolée, elle commence à prendre conscience de sa situation : elle est enfermée dans un bureau de shérif. Pour avoir fréquenter le bureau de Ormbrave assez souvent, elle reconnaît rapidement l'équipement du shérif posé sur la table. Les murs tapissés d'avis de recherche et l'odeur incessante de cigares. Pourtant il ne s'agit pas du bureau du shérif de Ormbrave.
Il y a forcément quelqu'un.
Eeh, y'a quelqu'un ? Pas un bruit.
Il va falloir ruser. Je dois prendre ma médecine moi, vous pouvez pas me laisser comment ça !
Le manque commence à se faire sentir.
Désorientée. Le paysage ne ressemble à rien de connu. Un mal de crâne incessant. Le dos en morceaux. Le sol n'est pas du tout confortable. Mais qu'est-ce qu'elle fout sur le sol.
TENTATIVE DE REBOOT A DISTANCE
GPS NOT ANSWERING .....
Dina se redresse tant bien que mal. La tête en vrac, la tignasse douteuse. Elle émerge. Sa vision est trouble. Elle ne reconnaît pas ce qui l'entoure. Son visage est confus.
Réflexe programmée. Où est ma bouteille de whisky ? Elle s'agite soudainement à la recherche de sa bouteille. Elle ne réalise pas tout de suite que son manteau n'est pas avec elle. Dina fouille ses poches en vain et commence à paniquer. Affolée, elle cherche autour d'elle. Son manteau est posé sur une petite table à côté, sa bouteille trônant fièrement au dessus.
Regain d'énergie. Elle se jette en avant, roulant presque sur elle même. Elle manque de trébucher et de se péter la gueule. Aveuglée par l'alcool, elle ne se rend pas compte qu'elle est enfermée dans une petite cellule. Les barreaux en fer lui rappelle sa triste vérité. Elle essaye, comme d'autres avant elle, d'enfoncer la porte, de mettre son doigt dans le petit trou de la serrure, de passer entre les barreaux. Rien n'y fait, elle est bien pris au piège.
Bien qu'affolée, elle commence à prendre conscience de sa situation : elle est enfermée dans un bureau de shérif. Pour avoir fréquenter le bureau de Ormbrave assez souvent, elle reconnaît rapidement l'équipement du shérif posé sur la table. Les murs tapissés d'avis de recherche et l'odeur incessante de cigares. Pourtant il ne s'agit pas du bureau du shérif de Ormbrave.
Il y a forcément quelqu'un.
Eeh, y'a quelqu'un ? Pas un bruit.
Il va falloir ruser. Je dois prendre ma médecine moi, vous pouvez pas me laisser comment ça !
Le manque commence à se faire sentir.
# Dim 8 Mai - 12:48
Ignacio Molina
hôte
occupation : âme bravoure et bienveillante, -- sherif de sweetwater -- en protecteur habitants, terrasse les brigands, remplit les cellules, coeur vaillant.
positionnement : machine -- ignorante --, patin aux prises des marionnettistes qui tissent les faits et gestes, comme un automate.
conception : gueule docile, bonhomme approchable, -- quarante et une années -- qui durent pour l'éternité.
myocarde : trace d'anneau au doigt, -- veuf -- depuis quelques années, palpitant semble s'affoler pour la justice seulement.
. : 
faciès & artiste : diego luna, corvidae
in front of my judgmental eyes
I drove all night to tell you I wish that you would stay. I wish that you would stay. I wanna protect you so that you never die.
Ronde journalière après conversation avec gosse. Shérif sur jument arpente alentours de ville connue et visages familiers. Rien à signaler, temps calme et grabuge semble éloigné. Automatique, lève la main en salutation devant homme qui ramasse une babiole au sol, échanges banalités constantes et répétitives.
Finalement, approche de collègue qui vient détailler nouveauté, faire rapport à shérif en fierté d'avoir accompli mission. Dénonce captive dans cellule, étrangère à cette ville sous alcool, n'avait plus sens de ses mots lorsqu'homme l'a trouvé tôt dans matinée. Sourire satisfait de shérif qui félicite du bon travail d'avoir mit en sureté femme derrière barreau, pour sa propre sécurité et peut-être celle des autres - méfiance envers inconnu au premier abord, veut assurer bien-être de sa ville.
Jument laissée aux abords de bâtisse, caresse tendresse avant d'entrer dans locaux et déposer colt sur bureau, tout en entendant complainte de captive non loin. Visage du shérif se montre docile et non agressif, quand pas s'approchent de cellule et voit femme quémandant médecine, tout en lisant rapport. « Bonjour, je suis le Shérif Molina. » Dépose papier sur tabouret avant de croiser bras devant barreaux, regard sur jeune femme à l'allure pas très fraiche après nuit sous alcool à errer sur terre loin de chez elle, et matinée passée à pioncer sur banc prison en décuvant à moitié. « Je peux avoir votre nom ? » Demande en s'éloignant quelques mètres, le temps d'aller remplir verre d'eau et de tendre entre barreaux pour offrir hydratation à prisonnière, dans sourire malgré tout, compatissant à la situation.
@dina azzam
# Mar 24 Mai - 22:12
Dina Azzam
hôte ● staff
occupation : diseuse de bonne aventure
positionnement : inconsciente de sa condition
conception : trente-sept ans en apparence, conçu en 2040
myocarde : vielle folle, bisexuelle
inventaire : ☾ des feuilles de menthes
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
☾ un jeu de tarot
☾ une bouteille de whisky
. :
faciès & artiste : ft. golshifteh farahani, queen corvidae
in front of my judgmental eyes
ft. @Ignacio Molina
Le terrible mal de tête poursuit, un bruit grisonnant s'installe dans sa carcasse. La vision devient soudainement trouble. La porte d'entrée s'ouvre, Dina s'efforce de rester éveillée. Elle utilise le peu de force qu'il lui reste pour se tenir debout adossée aux barreaux de sa cellule. Elle cligne plusieurs fois des yeux comme pour rectifier sa vision.
Bonjour je suis le shérif Molina. Dina réalise alors qu'elle est bien dans un bureau de shérif. Mais pas celui de Ormbrave ça c'est certain : il a l'air beaucoup trop accueillant pour vivre à Ormbrave. Je peux avoir votre nom ? Un shérif accueillant et chaleureux c'est bizarre pour Dina, un peu trop louche pour elle. Elle préfère s'en méfier. Mon nom est Zoya. Mensonge rapide et facile pour la jeune femme. Le but est de sortir d'ici au plus vite, et se fier à ce jeune shérif ne permettra pas à Dina de s'en sortir au plus vite.
Elle accepte volontiers un verre d'eau. Après une longue nuit asséchée sur son banc, un petit peu de vie ne fait pas de mal à sa carcasse rouillée. C'est une erreur vous savez je ne devrais pas être ici. dit-elle, en rendant le verre vide à son interlocuteur. Je ne suis une femme respectable, mes clients n'aimeraient pas savoir que je suis enfermée en prison. Ton mi-menaçant, mi-concerné par la situation.
Par réflexe elle fouille l'intérieur des poches de son manteau. Toujours pas de bouteille de whisky, mais pire encore : sa patte de lapin fétiche a disparu. Elle attrape le veston de Molina à travers les barreaux : Vous n'auriez pas volé mon porte bonheur monsieur Molino ? s'exclame t-elle, à moitié paniquée.
Bonjour je suis le shérif Molina. Dina réalise alors qu'elle est bien dans un bureau de shérif. Mais pas celui de Ormbrave ça c'est certain : il a l'air beaucoup trop accueillant pour vivre à Ormbrave. Je peux avoir votre nom ? Un shérif accueillant et chaleureux c'est bizarre pour Dina, un peu trop louche pour elle. Elle préfère s'en méfier. Mon nom est Zoya. Mensonge rapide et facile pour la jeune femme. Le but est de sortir d'ici au plus vite, et se fier à ce jeune shérif ne permettra pas à Dina de s'en sortir au plus vite.
Elle accepte volontiers un verre d'eau. Après une longue nuit asséchée sur son banc, un petit peu de vie ne fait pas de mal à sa carcasse rouillée. C'est une erreur vous savez je ne devrais pas être ici. dit-elle, en rendant le verre vide à son interlocuteur. Je ne suis une femme respectable, mes clients n'aimeraient pas savoir que je suis enfermée en prison. Ton mi-menaçant, mi-concerné par la situation.
Par réflexe elle fouille l'intérieur des poches de son manteau. Toujours pas de bouteille de whisky, mais pire encore : sa patte de lapin fétiche a disparu. Elle attrape le veston de Molina à travers les barreaux : Vous n'auriez pas volé mon porte bonheur monsieur Molino ? s'exclame t-elle, à moitié paniquée.
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